Comment minimiser les risques de ses placements
Investir sans tout risquer, c’est possible !

Lorsqu’on parle d’investissement, la première chose qui nous vient souvent à l’esprit, c’est le risque.
Cette peur est naturelle : personne n’aime l’idée de perdre l’argent qu’il a durement gagné.
Pourtant, laisser son épargne dormir sur un compte courant ou sur un livret faiblement rémunéré expose à un autre risque, plus insidieux : celui de l’érosion du pouvoir d’achat par l’inflation.
Pourquoi ce sujet est-il crucial ?

La peur du risque empêche beaucoup d’entre nous d’investir efficacement.
Par crainte de voir leur capital diminuer, certains préfèrent ne rien faire (au détriment de leur avenir financier).
Pourtant, investir de manière intelligente et disciplinée permet de limiter les risques, tout en profitant des formidables opportunités de croissance offertes par les marchés financiers ou immobiliers.
L’idée n’est pas de fuir tout risque, mais de l’apprivoiser et de le gérer stratégiquement.
Je souhaite vous montrer qu’il est tout à fait possible d’investir sans mettre en péril votre sécurité financière.
En comprenant les différentes natures de risques, en diversifiant correctement vos investissements et en adaptant vos choix à votre profil, vous pourrez bâtir un patrimoine robuste et serein.
Cet article est une méthode pratique pour minimiser les risques, sans renoncer au potentiel de rendement.
Mon anecdote personnelle :

Je me souviens très bien de ma première véritable confrontation au risque : c’était en 2008, lors de la grande crise financière.
À l’époque, je venais à peine de commencer à investir en bourse.
Quand j’ai vu certaines de mes premières positions chuter de 20 %, puis 30 % en quelques semaines, la panique m’a envahie.
J’étais à deux doigts de tout vendre pour “sauver ce qui pouvait l’être”.
Heureusement, j’ai eu la présence d’esprit de me former davantage avant d’agir.
J’ai appris que les marchés traversent toujours des cycles, que les crises sont temporaires, et surtout que diversifier et conserver une vision long terme étaient les meilleures armes contre la peur.
Aujourd’hui, je peux dire que cette expérience m’a permis de devenir une investisseuse plus sereine et plus performante.
Comprendre les risques pour mieux les maîtriser

Avant de chercher à sécuriser ses placements, il est essentiel de comprendre à quoi nous nous exposons.
Tous les investissements comportent une part de risque, mais tous les risques ne se ressemblent pas.
En apprenant à les reconnaître, nous pouvons mettre en place des stratégies efficaces pour les limiter.
1. Les différents types de risques financiers

Voici les principaux risques que nous devons connaître :
Le risque de marché
C’est le risque que la valeur d’un actif fluctue à la hausse comme à la baisse en fonction des conditions économiques, politiques ou sectorielles.
Exemple : Pendant la pandémie de 2020, les marchés boursiers mondiaux ont chuté brutalement avant de rebondir.
Le risque de liquidité
Il s’agit de la difficulté à vendre rapidement un actif sans subir de perte importante.
Exemple : Une part de SCPI ou une action d’une petite entreprise cotée peuvent être difficiles à revendre en période de crise.
Le risque de crédit
C’est le risque que l’émetteur d’une obligation (État, entreprise…) ne rembourse pas les intérêts ou le capital.
Exemple : La faillite de Lehman Brothers en 2008 a montré que même de grandes institutions peuvent faire défaut.
Le risque de change
Il concerne les investissements en devises étrangères.
Si l’euro se renforce face au dollar, vos placements en dollars perdront de la valeur une fois convertis.
Exemple : Un ETF investi aux États-Unis peut voir sa performance impactée par les fluctuations EUR/USD.
Ces risques ne doivent pas nous paralyser, mais ils doivent être intégrés dans notre stratégie d’investissement.
2. Pourquoi vouloir tout éviter est une erreur

Beaucoup de débutants cherchent à éliminer complètement les risques.
Mais ce réflexe, bien qu’humain, est une erreur.
Le risque et le rendement sont indissociables : il n’existe pas de rendement intéressant sans un minimum de prise de risque.
Vouloir tout sécuriser en plaçant uniquement sur des livrets ou des fonds en euros revient à voir son épargne s’éroder lentement sous l’effet de l’inflation.
À l’inverse, accepter une part raisonnable de risque permet de faire croître son patrimoine.
Comme le disait très justement Warren Buffett :
« Le risque vient de ne pas savoir ce que l’on fait. »
Ce n’est pas le marché qui est risqué par nature, c’est l’ignorance des mécanismes d’investissement qui expose à de mauvaises décisions.
En comprenant bien le fonctionnement des produits financiers, en adaptant ses placements à son profil et en diversifiant, nous transformons un risque incontrôlé en risque maîtrisé.
Diversifier ses placements : la première règle d’or

Quand on parle de sécurité en investissement, diversifier est sans doute le conseil le plus universel et intemporel.
La diversification est notre meilleure alliée pour limiter les risques sans sacrifier la performance.
1. Diversification sectorielle et géographique

Investir uniquement dans un seul secteur ou un seul pays, c’est mettre tous ses œufs dans le même panier.
Si ce secteur ou ce pays rencontre des difficultés, c’est tout notre portefeuille qui en souffre.
Diversification sectorielle :
Il s’agit de répartir nos investissements entre plusieurs secteurs d’activité :
- Technologie (ex : Apple, Microsoft)
- Santé (ex : Sanofi, Pfizer)
- Immobilier (ex : Unibail-Rodamco-Westfield)
- Énergie (ex : TotalEnergies, Orsted)
- Consommation courante (ex : Danone, Nestlé)
Diversification géographique :
Elle consiste à ne pas se concentrer uniquement sur la France ou l’Europe, mais aussi sur d’autres régions comme :
- Les États-Unis (leader de l’innovation)
- L’Asie (forte croissance démographique et économique)
- Les pays émergents (potentiel de rattrapage)
Exemple concret :
Imaginons que nous soyons uniquement investis dans des entreprises européennes.
En 2022, avec la guerre en Ukraine et la crise énergétique, l’Europe a beaucoup souffert, alors que les marchés américains ont mieux résisté dans certains secteurs.
La diversification mondiale amortit ces chocs locaux.
2. Diversification des classes d’actifs

Diversifier ne signifie pas uniquement acheter différentes actions !
Il faut aussi investir dans différentes classes d’actifs, car elles ne réagissent pas toutes de la même manière aux événements économiques.
Quelques classes d’actifs complémentaires :
- Actions (potentiel de croissance élevé)
- Obligations (revenus réguliers et stabilité)
- Immobilier (revenus passifs et protection contre l’inflation)
- Matières premières (ex : or, pétrole – valeurs refuges en période d’incertitude)
Exemples de portefeuilles équilibrés :
Profil prudent :
- 20 % actions
- 50 % obligations
- 25 % immobilier
- 5 % or
Profil équilibré :
- 50 % actions
- 30 % obligations
- 15 % immobilier
- 5 % or
Profil dynamique :
- 75 % actions
- 15 % obligations
- 10 % immobilier
Chaque composition dépend de notre tolérance au risque et de notre horizon d’investissement.
3. Erreurs classiques à éviter en diversification

La diversification est puissante… mais elle doit être intelligente.
Erreur 1 : Trop diversifier
Si nous multiplions les supports à l’excès (par exemple en détenant 50 ETF très similaires), nous finissons par diluer nos gains.
En effet, il devient difficile de générer une performance significative si tous nos placements se neutralisent.
Erreur 2 : Sous-diversifier
À l’inverse, se contenter d’un ou deux actifs expose à des chocs violents.
Un portefeuille concentré sur la tech, par exemple, subira de fortes baisses si ce secteur dégringole.
Le bon équilibre :
Avoir suffisamment d’actifs pour répartir le risque, mais pas au point de ne plus savoir ce que nous détenons et pourquoi.
Adapter son investissement à son profil de risque

Même si la diversification est essentielle, elle n’a de sens que si elle est adaptée à notre propre tolérance au risque.
Un bon investissement commence toujours par une introspection : qui suis-je en tant qu’investisseur ?
1. Évaluer son appétence au risque

Avant de placer notre argent, nous devons impérativement nous poser quelques questions fondamentales :
Quelle est ma capacité financière à supporter une perte temporaire ?
Si je perds 10 % de mon capital sur une mauvaise année, est-ce supportable sans mettre en péril mes projets ou mon quotidien ?
Quelle est ma tolérance psychologique à la volatilité ?
Suis-je du genre à paniquer dès que mon portefeuille baisse, ou puis-je garder mon sang-froid en pensant au long terme ?
Quel est mon horizon d’investissement ?
Plus mon horizon est long (10, 20 ans…), plus je peux me permettre d’accepter des fluctuations temporaires.
À l’inverse, si j’ai besoin de cet argent dans 2 ans, je dois réduire drastiquement ma prise de risque.
Outils gratuits pour évaluer son profil de risque :
L’Autorité des Marchés Financiers (AMF) propose des questionnaires en ligne pour estimer notre tolérance au risque de façon simple et rapide (simulateur de l’AMF ici).
De nombreux assureurs ou plateformes comme Yomoni, Nalo ou Goodvest proposent également des outils d’autoévaluation gratuits et pédagogiques.
Mon conseil personnel :
Refaire ce type d’évaluation tous les 2 à 3 ans ou à chaque grand changement de vie (naissance, achat immobilier, changement de carrière…).
2. Construire un portefeuille en conséquence

Une fois notre profil de risque identifié, il devient plus facile de construire un portefeuille cohérent et adapté.
Voici quelques exemples concrets de répartition :
Profil Prudent
Objectif : préserver le capital avant tout, quitte à sacrifier un peu de rendement.
Répartition type :
- 20 % actions (ETF monde par exemple)
- 60 % obligations (ETF obligataires gouvernementaux AAA ou fonds euro sécurisé)
- 20 % immobilier (SCPI diversifiées, foncières cotées)
Attendu : faibles variations, rendements stables autour de 3 à 4 %/an.
Profil Équilibré
Objectif : trouver un compromis entre croissance et sécurité.
Répartition type :
- 50 % actions (ETF monde + émergents)
- 30 % obligations (corporate investment grade, dettes souveraines)
- 20 % immobilier (SCPI ou immobilier locatif)
Attendu : fluctuations modérées, rendements entre 4 à 6 %/an selon les marchés.
Profil Dynamique
Objectif : maximiser la croissance sur le long terme en acceptant des variations plus fortes.
Répartition type :
- 80 % actions (ETF S&P500, Nasdaq, small caps, thématiques IA, énergies renouvelables…)
- 10 % obligations (high yield ou émergentes)
- 10 % immobilier (foncières cotées ou SCPI dynamiques)
Attendu : rendements espérés entre 6 à 8 %/an sur 10 ans, avec des années parfois négatives.
En adaptant nos investissements à notre véritable profil de risque, nous évitons deux écueils majeurs :
- Prendre des risques que nous serions incapables d’assumer émotionnellement,
- Ou, à l’inverse, investir trop prudemment et ne pas faire croître suffisamment notre patrimoine.
Utiliser des stratégies de protection

Protéger ses investissements, ce n’est pas fuir le risque : c’est apprendre à l’apprivoiser intelligemment.
En appliquant certaines stratégies simples mais efficaces, nous pouvons réduire considérablement l’impact des mauvaises surprises sur notre patrimoine.
1. Investir progressivement (DCA – Dollar Cost Averaging)

Le Dollar Cost Averaging (DCA), ou « investissement progressif », est une méthode que je recommande souvent, surtout lorsque l’on débute.
Le principe :
Plutôt que d’investir une grosse somme d’un coup (et risquer d’acheter au mauvais moment), nous investissons par petites tranches régulières (exemple : 200 € par mois pendant 2 ans).
Pourquoi c’est malin ?
- Cela lisse les points d’entrée : on achète parfois haut, parfois bas, mais en moyenne, on réduit le risque de tout placer au mauvais moment.
- Cela rassure psychologiquement : moins de stress si le marché baisse juste après un investissement.
Exemple personnel :
Quand j’ai commencé à investir en ETF, j’ai choisi de verser une somme fixe chaque mois sur un ETF MSCI World, sans essayer de « timer » le marché.
Résultat : au lieu de stresser des hausses ou baisses ponctuelles, j’ai laissé mon argent travailler tranquillement… et ça a payé !
2. Placer une partie en actifs refuges

Aucun portefeuille n’est vraiment équilibré sans une partie sécurisée dans des actifs considérés comme refuges.
Quelques exemples classiques :
- Livrets d’épargne réglementés (Livret A, LEP, LDDS) : parfaits pour sécuriser des liquidités disponibles à tout moment.
- Or (physique ou ETF or) : utilisé historiquement comme valeur refuge en cas de crise financière.
- Obligations d’État solides (ex : OAT françaises, Bunds allemands) : elles offrent un revenu fixe avec un risque limité, notamment sur des durées courtes.
Quel pourcentage y consacrer ?
Cela dépend de notre profil :
- Prudent : 30 % à 50 % en actifs refuges.
- Équilibré : 15 % à 30 %.
- Dynamique : 5 % à 15 %, juste pour amortir les chocs majeurs.
Petite astuce :
Même les investisseurs très offensifs gardent toujours une poche de liquidité.
Cela leur permet de saisir des opportunités quand les marchés chutent !
3. Sécuriser à l’approche d’un besoin

Investir, c’est bien, mais protéger son capital à l’approche d’un projet est crucial.
Quand sécuriser ?
Idéalement, à partir de 2 à 3 ans avant la date prévue (achat immobilier, départ en retraite, études des enfants…).
Comment faire concrètement ?
- Diminuer progressivement la part d’actifs risqués (actions, immobilier dynamique) au profit d’actifs plus sûrs (obligations courtes, fonds en euros, livrets).
- Sortir des marchés volatils : par exemple, vendre une partie de ses ETF actions et conserver le capital sur un support garanti.
Exemple pratique :
Si je prévois d’acheter une maison dans 2 ans, je ne laisse pas tout mon épargne exposée aux actions.
Dès maintenant, je sécurise au moins 70 à 80 % de cette somme sur des livrets, des fonds euro ou des obligations très sûres.
Ce que j’ai appris de mes débuts :
Lors de mon premier projet immobilier, j’avais négligé ce point… et le marché avait corrigé pile quand j’avais besoin de récupérer des fonds !
Depuis, je sécurise systématiquement plusieurs années avant chaque grand projet.
Rester informé(e) sans céder à la panique

Dans le monde de l’investissement, l’information est une arme à double tranchant : elle peut nous éclairer… ou nous faire agir de manière irrationnelle.
Apprendre à rester calme et lucide face aux événements est une compétence essentielle pour protéger et faire grandir notre patrimoine.
1. Suivre l’actualité économique intelligemment

Il est important de rester informé(e), mais il faut choisir ses sources et surtout savoir prendre du recul.
Quelques conseils simples :
Sélectionner des sources fiables :
Éviter les articles sensationnalistes.
Préférer des médias économiques reconnus comme Les Échos, Boursorama, Zonebourse ou Morningstar France.
Prendre le temps d’analyser :
Avant de réagir, je me demande toujours : « Cet événement affecte-t-il vraiment mon plan d’investissement à long terme ? »
Éviter la « surcharge d’informations »:
S’informer 1 à 2 fois par semaine suffit largement pour un investisseur long terme.
Exemple personnel :
Pendant le krach du Covid en mars 2020, en lisant les titres alarmistes, j’ai failli vendre mes positions…
Heureusement, en reprenant du recul et en me rappelant mon horizon long terme, je n’ai rien vendu.
Aujourd’hui, ces placements ont non seulement récupéré leur valeur, mais ont largement progressé !
La clé : Ne jamais prendre une décision d’investissement sous le coup de l’émotion.
2. Avoir une vision long terme

Le temps est notre meilleur allié en investissement.
Même après des crises graves, les marchés ont toujours fini par rebondir.
Quelques exemples inspirants :
Crise de 2008 (subprimes) :
Le CAC 40 a perdu plus de 40 %… mais il a tout récupéré et dépassé son niveau d’avant crise une dizaine d’années plus tard.
Krach du Covid en 2020 :
Le CAC 40 a chuté de 40 % en quelques semaines… et est revenu à son niveau pré-crise en moins d’un an.
Éclatement de la bulle internet en 2000 :
Le Nasdaq a mis 15 ans à retrouver ses sommets, mais il a ensuite connu une croissance fulgurante.
Que cela nous enseigne-t-il ?
Rester investi(e) est souvent plus rentable que d’essayer de « timer » les marchés.
Les corrections sont normales : elles font partie du jeu en bourse, et elles offrent souvent de belles opportunités d’achat pour ceux qui savent garder leur sang-froid.
Mon expérience personnelle :
Au début, voir la valeur de mon portefeuille baisser de 10 %, 20 % voire plus, me rendait malade…
Aujourd’hui, je considère ces baisses comme des promotions : une occasion d’acheter de beaux actifs à prix réduit.
Mon mantra désormais : « Investir, c’est traverser les tempêtes pour profiter du soleil. »
Conclusion : Sécuriser ses investissements, c’est préparer son avenir sereinement

Investir intelligemment, ce n’est pas chercher à éliminer totalement le risque, c’est apprendre à le gérer et à l’utiliser à notre avantage.
En adoptant de bonnes pratiques, nous pouvons faire croître notre patrimoine tout en dormant sur nos deux oreilles.
Pour réduire les risques sans sacrifier la performance, nous devons :
- Diversifier nos placements entre secteurs, zones géographiques et classes d’actifs.
- Construire une stratégie adaptée à notre profil de risque, en fonction de notre horizon et de notre tolérance émotionnelle.
- Investir progressivement, sécuriser en cas de besoin futur, et toujours garder une réserve d’actifs refuges.
- Faire preuve de patience et de sang-froid, en s’informant intelligemment sans paniquer face aux aléas du marché.
Ces principes sont simples, mais c’est leur application régulière qui fait toute la différence sur le long terme.
📢 Appel à l’action
Je vous invite aujourd’hui à prendre un moment pour faire le point sur vos placements actuels :
- Sont-ils bien diversifiés ?
- Correspondent-ils toujours à votre profil de risque et à vos projets de vie?
- Avez-vous prévu une stratégie de sécurisation progressive ?
Si la réponse est « non » ou « je ne sais pas », pas d’inquiétude : c’est le moment idéal pour réajuster votre stratégie !
N’oublions jamais que c’est en période calme qu’on prépare les tempêtes, pas quand elles sont déjà là.
Je vous donne rendez-vous la semaine prochaine pour un nouvel article : « Comment définir ses objectifs financiers pour investir efficacement ».
Nous verrons ensemble comment se fixer des objectifs concrets, motivants et réalistes pour guider nos investissements.
En attendant, si vous souhaitez aller plus loin dans votre parcours vers la liberté financière, je vous invite à découvrir mon livre « Je change de vie à plus de 50 ans et prends le chemin de la liberté financière… ».
Vous y trouverez des conseils pratiques, des stratégies testées et des témoignages pour construire, pas à pas, une vie plus libre et épanouissante.
Je vous souhaite la réussite dans toutes vos entreprises et vous dis à bientôt… Bree.