Les 6 concepts fondamentaux pour s’enrichir

Pour vivre mieux, pour augmenter sa qualité de vie et ses finances, il faut revoir entièrement sa façon de penser ! Vous serez plus fort si vous remettez en question vos convictions profondes concernant l’argent, le travail et la vie.

Quelles sont vos conceptions de l’argent ?

Quelles hypothèses entretenez-vous ?

Quelles (fausses) croyances avez-vous?

Quels a priori entretenez-vous ?

Nous allons voir dans cet article les 6 concepts fondamentaux pour s’enrichir financièrement et psychologiquement.

Les 6 concepts fondamentaux pour s’enrichir

2.     Nous pouvons nous permettre n’importe quoi… mais pas tout.

3.     Chercher des solutions, pas des obstacles.

4.     On gagne de l’argent à l’achat.

5.     La meilleure chose que l’argent achète, c’est le temps.

6.     Sortons de la norme.

1.     L’argent n’est ni bon, ni mauvais : il permet de faire des choix !

Combien de fois entendons nous des phrases du genre : « L’argent n’est pas tout. », « Je préfère être heureux que riche. », « L’argent ne fait pas le bonheur »… ? C’est totalement absurde !

Nous n’avons pas à choisir entre être « heureux » et être « riche » ! On peut être les deux.

Pourquoi travaillons nous plus de 8 par jour, chaque jour, pendant plus de 40 ans, si l’argent n’a pas d’importance ? 

L’argent est important !

C’est bien pour ça que nous nous réveillons au son strident de notre (satané) réveil, endurons chaque jour des heures d’embouteillage, supportons des collègues pénibles et un patron que l’on ne peut pas blairer…

Ces clichés tentent de dire, en fait, que le superficiel n’a pas d’importance. Et ça, c’est vrai !

L’argent a pour but de maximiser nos choix, de nous donner la possibilité de faire de nouvelles expériences, pas de remplir nos vies d’objet brillants et onéreux pour épater la galerie !

Vous souhaitez :

–        changer de boulot ?

–        laisser votre conjoint(e) rester à la maison avec les enfants ?

–        déménager dans une autre région, une autre ville ?

–        faire un grand voyage ?

Pour chacun de ces choix, nous avons besoin d’argent !

L’argent offre la liberté de vivre notre vie, de la manière la plus épanouissante et la plus heureuse qui soit. Après nous être créé un revenu passif, nous choisissons comment dépenser chaque jour.  Mais, la question de savoir comment on va remplir le frigo ne doit pas se poser, cela ne doit pas être un souci !

L’argent est donc important !

Je vous invite à lire les articles « comment et pourquoi se lancer dans l’entrepreneuriat » et « comment augmenter et diversifier ses revenus ».

2.     Nous pouvons nous permettre n’importe quoi… mais pas tout.

Vous n’avez rien besoin de me dire, il me suffit de voir comment vous dépensez votre argent…pour connaître vos valeurs. Et votre banquier aussi, par la force des choses ! C’est d’ailleurs une des raisons pour lesquelles, je vous recommande toujours de payer vos achats en espèces, le plus souvent possible, mais de faire des virements permanents pour votre épargne…

Les personnes qui me disent qu’elles « ne peuvent pas se permettre d’épargner ou d’investir », alors qu’elles ont le dernier iPhone, roulent en voiture neuve et vont dans les grands restaurants toutes les semaines, ne sont pas crédibles ! Simplement, leurs priorités ne sont pas la gestion et l’optimisation de leur patrimoine, encore moins leur liberté financière.

Les produits de luxe, lorsqu’ils sont consommés avec modération et financés par du cash-flow, des actifs, sont très appréciables !

Mais, dans ce cas, il ne faut pas prétendre que d’autres objectifs, sont hors de portée ! Chaque euro dépensé est un compromis contre quelque chose d’autre.

Il faut arrêter de dire  » Je ne peux pas me le permettre « . C’est dévalorisant, déresponsabilisant est inexact ! Au lieu de cela, il vaut mieux se demander : « Comment puis-je me payer mon iPad ? Ma voiture? Mon habitude de restaurant ? »

Il n’y a rien de mal à acheter un iPad, un iPhone, une belle voiture, ou à savourer un repas cinq étoiles. Le problème se pose lorsque ce plaisir se fait au détriment de ce que nous désirons le plus.

Ainsi, nous pouvons tout nous permettre, mais pas tout !

3.     Chercher des solutions, pas des obstacles.

À moins de vouloir nous expatrier sur la lune, ou comprendre pourquoi Macron a été réélu, nous pouvons accomplir à peu près n’importe quoi ! Alors pourquoi n’obtenons nous pas les résultats tant attendus ?

Le problème n’est pas le manque d’opportunités, mais c’est la peur. Et pour franchir cet obstacle, il faut nous concentrer sur la recherche de solutions.  Ainsi, nous devons chasser de nos pensées les « je ne peux pas…« , « je suis trop… », « je ne suis pas assez… » et les remplacer par « comment… ».

Par exemple:

·        Au lieu de se dire: « Je ne peux pas économiser un autre centime. », penser plutôt à : « Comment puis-je économiser 50 € de plus ce mois-ci ? », ou encore : « comment GAGNER 100€ de plus ? »

·        Au lieu de se dire: « Je ne trouve pas de bons investissements immobiliers à proximité. », penser plutôt à : « Comment puis-je trouver des saisies immobilières et des enchères immobilières ? », ou « Comment puis-je investir dans une autre ville ou un autre pays ? ».

N’oublions pas non plus que l’action inhibe la peur et le doute. Alors, trouvons comment agir !

4.     On gagne de l’argent à l’achat.

Entendez vous des gens dire des choses comme :   « Mince, la valeur de ce stock a chutée, je vais le garder jusqu’à ce qu’elle remonte. » ; « J’ai payé trop cher cette maison, mais ça va. Je me rattraperai à la revente. » ;   « Je ne connais pas le coût d’entretien de ce bien locatif, mais s’il est élevé, j’augmenterai simplement le loyer. » …?

En vérité :

·        Notre stock ne se soucie pas de savoir si oui ou non nous atteignons notre seuil de rentabilité ;

·        Notre acheteur ne se souciera pas de ce que nous avons payé ;

·        Nos locataires se moquent de nos frais généraux !

Nos investissements ne sont pas rentables dans l’avenir ! Ils sont rentables au présent, à l’achat, quand on réalise une bonne affaire sur un actif sous-évalué.

Si on espère que la valeur d’une maison augmente, en croisant les doigts, au cours des prochaines années, on spécule, mais on n’investit pas ! Si, à l’arrivée, le marché est haussier, tant mieux ! Mais ce n’est que du bonus !

5.     La meilleure chose que l’argent achète, c’est le temps.

Nous pouvons dépenser notre argent comme on le souhaite, suivant nos objectifs et nos priorités. Mais je vous recommande d’acheter l’actif le plus rare et le plus précieux au monde : le temps.

L’argent est illimité : si aujourd’hui on en perd, demain on en gagnera à nouveau. Le temps est très précieux : une fois qu’il est passé, on ne peut rien y faire ! C’est notre ressource la plus limitée.

Dans ce cas, pourquoi perdre du temps en  nous agrippant à nos euros ? Ne soyons pas des radins extrêmes, à moins que ce ne soit vraiment motivé par les besoins primaires. 

C’est pourquoi, ne gaspillons pas notre samedi en nous rendant dans trois supermarchés différents à la recherche des meilleures offres. Décidons une fois pour toute de l’enseigne qui nous convient en terme de prix, de distance et de qualité et tenons nous-en. Tant pis, si nous avons dépensé 5€ de plus, si on en a, du coup, le temps de jouer avec les enfants, par exemple.

Il est même possible d’en acheter encore plus. En effet, une technique consiste à calculer notre valeur horaire, en tenant compte de notre salaire (pour les salariés) et de notre temps de travail bien sûr, mais aussi du temps de trajet, de l’entretien et l’usure de la voiture…

On détermine ensuite toutes les tâches que l’on effectue qui ne sont pas importantes et que l’on peut aisément déléguer. Il suffit ensuite de calculer la rentabilité de la chose par rapport à notre valeur horaire…

Par exemple, si on embauche quelqu’un pour faire certaines tâches à 15 euros de l’heure, que cela nous dégage du temps et nous permet de gagner 25 euros de l’heure, on a acheté du temps qui nous a permis de réaliser un bénéfice.

Comme souvent les tâches que l’on délègue sont des tâches récurrentes, répétitives et rébarbatives, cette technique est particulièrement appréciable. Dépensons notre argent pour acheter notre temps !

6.     Sortons de la norme.

La société a des idées étranges autour de l’argent. Si nous dépensons 35 000€ pour une voiture, personne ne nous remet en question. Personne ne demande : « Comment pourriez vous vous le permettre ? ». Mais si nous dépensons 35 000€ en plongée sous-marine dans le Pacifique Sud, les gens froncent les sourcils. Ils supposent que nous sommes très riches ou endettés jusqu’aux yeux.

Personne ne semble satisfait de la réponse simple et honnête : « Je dépense moins que je ne gagne », ou plus précisément, « Je gagne plus que je ne dépense« .

Si nous achetons notre résidence principale, personne ne nous questionne. Mais si nous achetons un immeuble de rapport, les gens froncent les sourcils et se demandent « Où a-t-il/elle obtenu tout cet d’argent ? ».

Autant le savoir et l’accepter. Parce qu’on ne peut rien y faire !

Ainsi, vivre une vie extraordinaire nécessite des mesures extraordinaires.

Nous devons accepter le fait que nos choix de dépenses sont pour le moins… non conventionnels. Et c’est quelque chose à célébrer.

La plupart des gens sont fauchés, ennuyés et coincés.  Mais comme nous, nous nous penchons sur notre éducation financière, afin d’atteindre la liberté financière, nous n’avons ni les mêmes valeurs, ni les mêmes priorités ! Nous sortons de la norme à tous points de vue.

Pour aller plus loin, je vous conseille la lecture de Père riche, père pauvre de Robert Kiyosaki, qui est une vraie pépite ! L’auteur nous y enseigne la psychologie de l’argent, la différence de façon de penser entre les riches et les pauvres.

Je vous souhaite la réussite dans toutes vos entreprises et vous dis à la semaine prochaine…

Bree.

PS : Pour celles et ceux qui voudraient connaître mon parcours, je vous livre toutes les étapes de mon chemin vers la liberté financière depuis ma prise de conscience dans mon livre « Je change de vie à plus de 50 ans et prends le chemin de la liberté financière… ». 

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