Pourquoi avons-nous souvent cette impression sourde qu’il nous “manque quelque chose” ?
Cette sensation subtile que notre vie pourrait être plus belle, plus complète, plus réussie… si seulement on achetait ce canapé, ce smartphone, ce sac, ou cette déco vue sur Instagram ?
Et pourtant, nos placards débordent, nos tiroirs sont pleins, et malgré tout cela, ce vide revient. Inlassablement.
Ce sentiment n’est pas anodin.
Il est le symptôme d’un système : le consumérisme.
Ce modèle de société, qui valorise l’avoir plutôt que l’être, façonne nos envies, nos réflexes, nos aspirations, souvent à notre insu.
À travers la publicité omniprésente, les réseaux sociaux, les promotions en ligne, les collections capsules, les “indispensables” du moment…
…on nous pousse à croire qu’un achat nous rendra plus heureux(se), plus stylé(e), plus épanoui(e).
Mais à force de courir après ce “toujours plus”, on finit par s’épuiser, s’endetter, se perdre.
On accumule des objets, mais aussi de la frustration, de la culpabilité, voire du stress.
Et on perd de vue ce qui compte vraiment: la liberté de choisir en conscience, la joie d’un quotidien simple, le plaisir des choses essentielles.
Je te rassure : sortir du consumérisme n’implique pas de tout jeter, ni de vivre dans le dénuement.
Il ne s’agit pas de se priver, mais de reprendre le contrôle.
Reprendre le pouvoir sur nos choix, notre argent, notre espace, notre temps.
Dans cet article, je te propose une méthode concrète et bienveillante pour :
Je partage cette réflexion avec toi parce que j’ai moi-même été prise dans cette spirale.
Et je sais combien il est libérateur d’en sortir, un pas après l’autre.
Alors, si tu en as assez de cette sensation de “trop” et de “pas assez”, suis-moi.
Ensemble, apprenons à vivre mieux avec moins.
Sortir de l’engrenage commence par en comprendre les rouages.
Avant de chercher des solutions, il faut mettre des mots sur ce que l’on vit.
Car souvent, on se croit seul(e) à ressentir ce malaise diffus face à notre mode de vie.
En réalité, nous sommes nombreux à être pris dans un système bien huilé : le consumérisme.
Le consumérisme, c’est bien plus que le fait de consommer.
C’est une idéologie, une manière de penser et de vivre qui associe le bonheur à l’achat de biens et de services.
L’objet de consommation n’est plus seulement utile, il devient un symbole de réussite, d’appartenance, voire d’identité.
Cette idée s’est imposée progressivement à partir du XXe siècle, notamment après la Seconde Guerre mondiale, avec l’essor de la société de production de masse.
L’économie devait redémarrer, les entreprises produire, et les ménages consommer pour faire tourner la machine.
La publicité s’est alors infiltrée dans les foyers via la télévision, les journaux, puis Internet, créant un besoin là où il n’y en avait pas.
Petit à petit, nous sommes passés d’une société centrée sur les besoins à une société centrée sur les désirs, renouvelés en permanence.
Autrefois, les objets étaient conçus pour durer.
Aujourd’hui, ils sont pensés pour être remplacés.
C’est ce qu’on appelle l’obsolescence programmée.
On ne répare plus, on jette.
On n’attend plus, on commande en un clic.
Notre économie repose désormais sur la vitesse, le renouvellement constant, l’envie créée artificiellement.
Les modes changent tous les mois, les nouveautés technologiques tous les ans.
Le Black Friday, les soldes, les offres limitées nous poussent à agir dans l’urgence.
Et plus on consomme, plus on alimente ce cercle.
La publicité ne vend plus seulement un produit, elle vend une émotion, un style de vie, une promesse.
Un parfum ne sent pas seulement bon : il rend désirable.
Une voiture n’emmène pas seulement d’un point A à B : elle offre la liberté, le prestige.
Et avec le crédit à la consommation, il devient possible d’acheter tout de suite… même si l’on ne peut pas se le permettre.
Les “payez en 3 fois sans frais”, les cartes de crédit renouvelables, et les micro-prêts alimentent cette facilité d’accès qui nous piège.
Enfin, les réseaux sociaux jouent aujourd’hui un rôle majeur.
Ils entretiennent une comparaison permanente.
En un scroll, on voit des intérieurs parfaits, des vacances de rêve, des achats “essentiels” chez telle marque.
Et inconsciemment, on pense que nous aussi, il nous faudrait “ça”.
Ce modèle a un coût.
D’abord un coût financier : on accumule des objets qu’on n’utilise pas vraiment, on s’endette parfois pour des achats impulsifs, et notre épargne en pâtit.
Mais aussi un coût mental : la surcharge visuelle et matérielle crée du stress, de la culpabilité, une sensation d’étouffement.
On court après le dernier modèle, le dernier objet tendance… mais très vite, l’excitation retombe.
Et il faut acheter à nouveau pour ressentir un petit shoot de dopamine.
C’est un peu comme une drogue douce : agréable au départ, mais frustrante sur le long terme.
Le consumérisme joue sur une corde bien humaine : le besoin de renouveau.
Mais au lieu de trouver ce renouveau dans l’apprentissage, la création, ou les relations humaines, on le cherche dans des objets.
Le problème, c’est que la nouveauté matérielle ne remplit jamais durablement.
Une fois le produit acheté, utilisé, mis de côté, l’envie revient.
Et avec elle, cette petite insatisfaction :
« Et maintenant, qu’est-ce que je pourrais acheter ? »
Ce modèle nous pousse à croire que notre bonheur est toujours dans le prochain achat.
Mais il n’arrive jamais.
De nombreuses études en psychologie le montrent : au-delà d’un certain seuil de confort matériel, l’augmentation des possessions n’améliore pas le bien-être.
Pire : elle peut le diminuer, en générant du stress, des conflits, des regrets.
Une étude de l’université de Princeton, menée par Daniel Kahneman (prix Nobel d’économie), a révélé qu’au-delà d’un revenu annuel de 75 000 $, l’augmentation du niveau de vie n’a plus d’impact significatif sur le bonheur quotidien.
En convertissant ce montant, 75 000 $ équivalent environ à 69 000 €, selon les taux de change récents.
Mais ce chiffre doit être relativisé selon :
En France, selon des travaux de l’Insee et d’économistes comme Claudia Senik (Sorbonne, Paris School of Economics), le “seuil de satiété” en matière de revenus serait situé entre 2 500 € et 3 000 € nets par mois et par personne, soit entre 30 000 € et 36 000 € nets par an.
C’est à ce niveau de revenus que les besoins essentiels sont couverts, que les marges de manœuvre pour les loisirs, la santé, les imprévus sont présentes, et que le stress financier baisse significativement.
Au-delà, le bien-être augmente peu… sauf si le revenu est mis au service d’un projet qui donne du sens (temps libre, indépendance, générosité, etc.).
Plus que le montant exact, c’est ce qu’on fait de notre argent qui compte.
En France, de 30 000 € à 36 000 € nets par an, la majorité de nos besoins sont couverts.
Ce qui rend heureux, ce n’est pas forcément de gagner plus, mais de mieux dépenser selon nos valeurs.
Et dans une enquête menée en France par l’Observatoire société et consommation (Obsoco), près de 6 Français sur 10 déclarent vouloir “ralentir” leur rythme de consommation, et recherchent plus de simplicité.
Je me souviens d’un moment marquant dans mon propre parcours.
J’avais économisé pour m’offrir un sac à main de marque, que je pensais “mérité” après une période intense.
Le plaisir a duré… deux jours.
Ensuite, ce sac est devenu un objet parmi d’autres dans mon placard.
Et je me suis sentie frustrée.
Non pas parce que le sac n’était pas beau, mais parce que je m’étais attendue à ce qu’il change quelque chose en moi.
C’est à ce moment-là que j’ai commencé à m’intéresser à la frugalité choisie : une démarche qui consiste non pas à se priver, mais à consommer en conscience, en se demandant :
Est-ce que cela sert mes valeurs ?
Est-ce que cela m’apporte du sens, du confort durable, de la liberté ?
L’un des grands pièges du consumérisme, c’est qu’il agit souvent en arrière-plan, de manière automatique.
On achète sans réfléchir, puis on culpabilise, on s’en veut, et parfois… on recommence.
Pour briser ce cycle, la première étape consiste à mieux se connaître.
On ne guérit pas de ce que l’on ignore.
Commencez simplement par prendre un temps de recul.
Pendant une semaine, notez chacun de vos achats, qu’ils soient petits ou importants.
Il ne s’agit pas de juger, mais d’observer.
Par exemple, j’ai réalisé que j’avais une tendance à commander à emporter les vendredis soirs.
C’était moins une question de faim qu’un réflexe de fin de semaine pour me récompenser.
Je recommande de compléter cet exercice par un journal de dépenses émotionnelles.
Pour chaque achat non planifié ou “coup de cœur” :
🖊 Exemple d’entrée de journal :
“30 € – Sweat acheté en ligne. Je venais de recevoir un message désagréable au travail. J’ai eu besoin d’une compensation.”
Tenir ce journal pendant 2 à 4 semaines permet de faire émerger des schémas : on découvre qu’on achète pour combler un vide ou apaiser une émotion, et non pour répondre à un besoin réel.
Nous ne vivons pas dans une bulle.
Nos comportements sont fortement influencés par notre environnement, et en particulier par :
Chaque achat impulsif est souvent le sommet visible d’un iceberg émotionnel.
Ce n’est pas l’objet en soi qui nous attire, mais ce qu’il symbolise.
Pose-toi ces questions :
Une fois que tu as identifié ces déclencheurs, tu peux petit à petit remplacer l’achat par une réponse plus saine.
Pendant longtemps, j’avais ce réflexe d’aller faire un tour “rapide” sur des sites de seconde main à la moindre frustration.
Je me disais : “Je ne dépense pas beaucoup, c’est écolo, c’est de l’occasion.”
Mais en réalité, j’achetais trop souvent, pour des raisons émotionnelles, pas pratiques.
J’ai dû faire un vrai travail d’observation pour reprendre le contrôle, et aujourd’hui, je préfère remplir mes besoins autrement : par l’écriture, la lecture, les balades, ou le partage avec toi.
La publicité, les algorithmes et la société de surconsommation nous poussent à croire que notre pouvoir réside dans notre capacité à acheter.
Mais en réalité, notre vrai pouvoir réside dans notre capacité à choisir.
Choisir ce qu’on consomme, comment, quand, et surtout pourquoi.
Adopter une consommation alignée, ce n’est pas se priver, c’est redonner du sens à nos dépenses, en cohérence avec nos valeurs, notre budget, et notre mode de vie frugaliste.
Trop souvent, on achète à bas prix, en se félicitant de la “bonne affaire”, pour se rendre compte quelques semaines plus tard que le produit est cassé, inutilisable, ou inutile.
À long terme, c’est une fausse économie.
Consommer moins mais mieux, c’est :
Même logique pour les appareils tech : j’achète moins souvent, mais je choisis des marques réputées pour leur fiabilité (ex. Fairphone pour les téléphones éthiques, ou reconditionné, Apple/Back Market pour l’occasion de qualité).
C’est une astuce ultra simple… et redoutablement efficace.
Plutôt que de cliquer sur “acheter” dès que l’envie vous prend, note l’objet sur une liste d’attente et attend 7 jours (ou plus !).
Pendant ce temps, on prend du recul.
On observe si le désir persiste… ou s’évapore.
“Si je veux encore ce produit dans une semaine, je l’achèterai. Si je l’ai oublié, c’est qu’il ne méritait pas mon argent.”
Un lecteur m’a récemment confié :
“Je m’étais noté une lampe design à 149 €. Au bout de 5 jours, j’avais même oublié pourquoi elle m’avait attiré. J’ai rayé l’idée et gardé mes sous !”
Ce petit délai permet de transformer le désir impulsif en décision éclairée.
Acheter peut devenir un acte militant, dès lors qu’on choisit d’aligner nos dépenses avec nos convictions.
Quand je dépense aujourd’hui, je me pose 3 questions :
Quelques exemples :
Ce genre d’achat nous donne le sentiment d’agir, pas juste de consommer.
Parmi les plus belles découvertes de mon parcours vers la frugalité, il y a l’univers de la seconde main, de la réparation, et du troc.
Aujourd’hui, on peut quasiment tout trouver d’occasion :
En plus :
Et puis, il y a une petite fierté discrète à se dire qu’on a trouvé ce dont on avait besoin sans céder à la surconsommation.
Il y a deux ans, j’étais sur le point d’acheter un aspirateur dernier cri à plus de 500 €.
Il promettait de “changer ma vie” avec ses capteurs laser et sa batterie intelligente. Franchement, j’étais à deux doigts de craquer.
Puis j’ai respiré.
J’ai appliqué ma règle des 7 jours.
Et j’ai réfléchi :
Résultat ?
Je n’ai pas acheté.
Et je me suis offert, quelques mois plus tard, un massage en thalasso pour fêter une belle étape budgétaire.
Même budget, mais pas du tout la même satisfaction.
Il y a un lien puissant, et souvent sous-estimé, entre notre environnement matériel et notre bien-être mental.
Un appartement encombré, c’est souvent le reflet d’un esprit saturé.
Des placards qui débordent, c’est autant de décisions non prises, d’objets qui pèsent inconsciemment sur notre quotidien.
On ne vide pas une maison en un après-midi.
Mais on peut créer un élan, un mouvement, en avançant avec méthode.
Deux approches fonctionnent très bien :
Astuce : Se fixer des créneaux courts (30 minutes à 1h) pour éviter l’épuisement et l’effet “tornade”.
Un dimanche matin, j’ai décidé de vider un grand placard que je n’ouvrais presque jamais.
À l’intérieur : des boîtes remplies de babioles, des vêtements oubliés, des souvenirs “au cas où”…
En trois heures, j’ai trié, vidé, donné.
Et ce qui m’a le plus surprise, ce n’est pas la place gagnée, mais la légèreté que j’ai ressentie dans ma tête.
J’avais l’impression d’avoir éliminé un bruit de fond mental.
Depuis, je reviens régulièrement à cette pratique.
Elle fait partie de mon hygiène mentale.
Se désencombrer ne veut pas dire jeter en masse.
Il s’agit plutôt d’évaluer chaque objet avec attention, et de lui accorder une vraie décision :
Trois possibilités s’offrent à toi :
Et surtout, ne pas culpabiliser.
Ces objets nous ont peut-être servis, consolés, ou accompagnés à une époque.
Aujourd’hui, ils peuvent faire de la place pour quelque chose de plus utile ou plus vrai.
Au fil du tri, il arrive souvent qu’on tombe sur des objets achetés impulsivement, jamais utilisés, encore étiquetés parfois.
On peut ressentir un peu de honte, ou de regret.
Mais au lieu de s’en vouloir, je t’invite à transformer cette prise de conscience en apprentissage.
Ces excès passés nous rappellent :
Désencombrer, c’est une première étape.
Mais pour maintenir un intérieur allégé, il faut aussi changer notre manière de faire entrer les objets chez nous.
Une règle simple et redoutablement efficace :
“Un objet entre = un objet sort.”
Cela permet de maintenir l’équilibre, et de rendre chaque achat plus réfléchi.
Et si je ne trouve rien à faire sortir… peut-être que je n’ai pas vraiment besoin de ce nouvel objet, finalement.
Désencombrer, ce n’est pas qu’une action ponctuelle.
C’est une philosophie de vie.
Et cela commence avant même d’acheter.
Avant chaque achat, je me pose désormais trois questions clés :
Avec ce petit rituel, j’évite 90 % des achats impulsifs.
Et ma maison reste claire, fonctionnelle… et paisible.
Changer seul, c’est difficile.
Changer ensemble, c’est durable.
Quand on décide de sortir du consumérisme et d’adopter une vie plus simple, plus alignée, l’environnement humain est déterminant.
Seul(e) face aux injonctions de la société de consommation, on peut se décourager.
Mais entouré(e) de personnes qui partagent les mêmes valeurs, on se sent compris(e), soutenu(e), inspiré(e).
Et on avance plus vite, plus loin.
Il existe en France de nombreuses communautés tournées vers la simplicité volontaire, la frugalité, le minimalisme ou encore le mode de vie zéro déchet.
Ces groupes, qu’ils soient en ligne ou dans la vraie vie, offrent :
Ces réseaux sont précieux pour se sentir accompagné(e) dans le changement.
Il n’y a rien de plus stimulant que de relever un défi à plusieurs.
Cela transforme une contrainte en jeu, une peur en aventure.
Voici quelques idées de défis collectifs que j’ai testés ou animés :
Ces petits jeux de groupe sont de véritables leviers de changement durable.
Et même après le défi, certaines nouvelles habitudes restent ancrées naturellement.
Impliquer sa famille, ce n’est pas imposer ses choix, c’est les inclure dans la réflexion.
Chez moi, j’ai instauré une réunion mensuelle autour de la consommation :
Pour les familles, on peut imaginer un “conseil familial frugal” où chacun, même les enfants, propose des idées pour :
C’est un exercice de cohésion autant que de gestion.
Et les enfants, souvent, adorent proposer des solutions (même farfelues) et voir leurs idées prises en compte.
Sortir du consumérisme, c’est une décision personnelle.
Mais c’est aussi une démarche contagieuse… lorsqu’elle est vécue avec joie et bienveillance.
Au lieu de “prêcher” ou de faire la morale, je préfère partager mes découvertes, mes erreurs, mes réussites :
Ces petites phrases sèment des graines.
Et parfois, autour de moi, des amis ou des proches reviennent me dire :
“Tu sais, j’ai commencé à vider mon garage… ça m’a fait un bien fou !”
C’est ainsi qu’on crée du changement collectif, doucement, sans jugement.
Nos enfants sont déjà très exposés à la publicité, aux modèles de consommation rapide, à la tentation des objets jetables.
Mais ils sont aussi incroyablement réceptifs à l’exemplarité.
Voici quelques pistes concrètes que j’applique chez moi :
On croit souvent que renoncer au consumérisme, c’est entrer dans une vie de privation, de frustration.
Pourtant, c’est tout le contraire.
C’est une libération.
Une manière de reprendre les rênes, de remettre du sens dans nos gestes quotidiens, de faire la paix avec nos vrais besoins.
Vivre mieux avec moins, c’est :
Et je vous le dis avec le sourire : on y gagne bien plus qu’on ne “perd”.
Pas besoin de tout révolutionner du jour au lendemain.
Je te propose un premier petit pas très simple :
Cette semaine, fais un premier tri dans tes objets ou désabonne-toi d’un compte sur les réseaux sociaux qui te pousse à consommer sans réfléchir.
Un geste minuscule ?
Oui.
Mais un déclic immense.
C’est comme ça que tout commence.
Et si on passait à l’action ensemble ?
La semaine prochaine, je t’emmène dans un sujet ultra libérateur : comment désencombrer concrètement son espace (et son esprit).
Une méthode simple, joyeuse, et ultra efficace.
Moins de bazar = plus de liberté mentale.
Je te raconterai tout.
Je termine avec une anecdote qui m’a marquée :
Pendant longtemps, j’avais cette mauvaise habitude de m’offrir un petit achat “récompense” quand j’avais bien travaillé.
Un pull, un resto rapide, un gadget.
Sur le moment, ça me donnait l’impression de me faire du bien… mais très vite, je ne ressentais plus rien.
Un jour, j’ai remplacé ces achats par quelque chose de tout simple : un moment pour moi, un café tranquille dans un joli cadre, une promenade en forêt, un appel à une amie.
Et là, j’ai vraiment commencé à savourer mes victoires.
Pas besoin de sortir la carte bleue pour célébrer.
Juste d’être présente à soi-même.
On continue ensemble la semaine prochaine ?
D’ici là, prends soin de toi… et de ton attention.
Je te souhaite la réussite dans toutes tes entreprises et te dis à bientôt…
Bree
Quand on parle de liberté financière, on imagine souvent la bourse, l’immobilier ou les revenus…
Pourquoi éviter ces erreurs est crucial Atteindre la liberté financière fait rêver beaucoup d’entre nous. …
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Un livret d’épargne à 7,5 % garanti, vraiment ? C’est le genre de promesse qui…
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