Comment changer tes habitudes de dépense

Tu as déjà dit « Je ne sais pas où passe mon argent » en regardant ton compte en fin de mois ?

Si oui, tu n’es clairement pas seul(e).

On a beau avoir de bonnes intentions, même un budget en place… certaines dépenses s’infiltrent, invisibles, sournoises.

Résultat : on dépense sans vraiment décider.

Et pour cause : nos habitudes de dépense sont bien plus profondes qu’on ne le croit.

Elles ne sont pas seulement rationnelles, elles sont aussi émotionnelles, culturelles, parfois même familiales.

On reproduit ce qu’on a vu, on agit par réflexe, par fatigue ou pour fuir une émotion inconfortable.

Acheter devient alors un pansement temporaire… mais rarement une solution durable.

J’ai longtemps cru que j’étais “nulle avec l’argent”.

En réalité, je laissais simplement mes habitudes diriger ma carte bancaire.

Jusqu’au jour où j’ai décidé de reprendre la main, doucement, mais sûrement.

Alors aujourd’hui, je te propose un processus en 5 étapes simples et concrètes pour changer en profondeur ta relation à la dépense.

L’objectif n’est pas de se frustrer ni de tout contrôler.

L’objectif, c’est de faire des choix alignés avec tes vraies priorités, et non avec une impulsion passagère ou un besoin de combler le stress.

On va parler de conscience, de déclencheurs, de rituels positifs, de valeurs personnelles… et surtout de comment garder cette nouvelle dynamique sur le long terme.

C’est parti !

Prendre conscience de ses automatismes

Changer ses habitudes de dépense, c’est comme reprogrammer un pilote automatique.

Et la toute première étape, c’est d’en prendre conscience.

Tu ne peux pas changer ce que tu ignores.

Comment on dépense… sans s’en rendre compte

Tu crois que tu décides de tes dépenses ?

En réalité, une grande partie de nos achats sont inconscients ou émotionnels.

Voici quelques exemples fréquents :

• Les achats impulsifs : tu es dans un magasin ou sur un site, tu vois une promo, un bel objet… tu cliques ou tu tends ta carte sans trop réfléchir.
• Les routines inconscientes : tu passes devant ta boulangerie et tu t’achètes une viennoiserie tous les matins. Tu ne sais même plus pourquoi.
• Les dépenses “réconfort” : après une journée stressante ou décevante, tu te “fais plaisir”. Sauf que ce plaisir se transforme souvent en culpabilité quelques heures plus tard.

Exemple concret :

Il fut un temps où, dès que j’avais une journée difficile, je commandais quelque chose sur Amazon.

Parfois juste un livre ou un accessoire à 10 euros.

Rien de grave en apparence… sauf que c’était presque chaque semaine.

Et je ne me rendais compte de rien jusqu’à ce que je fasse mon suivi de dépenses.

Astuce : faire une “journée d’observation”

Pour casser ces automatismes, il faut d’abord mettre de la lumière sur eux.

Et pour ça, rien de mieux qu’un petit exercice que je conseille souvent à mes lecteurs :

Exercice 1 : La Journée Zéro Achat – 100 % Observation

Pendant une journée entière :

• Note chaque envie d’achat, même minuscule.
• Note aussi le contexte émotionnel : tu es fatigué(e) ? ennuyé(e) ? frustré(e) ? as-tu vu une pub ou reçu une newsletter ?
• Ne passe aucune commande, ne clique sur rien.

L’idée, c’est de prendre du recul, pas de se juger.

Tu verras, cette journée va t’apporter une tonne d’infos sur toi-même.

Elle te montrera les déclencheurs, les moments de vulnérabilité, les habitudes automatiques.

Et surtout, elle t’apprendra que résister à une envie n’est pas si douloureux quand on l’observe simplement.

Changer commence par observer.

Alors dès demain, essaye cette mini-expérience.

Elle ne coûte rien, mais peut t’apporter un immense déclic.

Ce petit exercice, je le propose à toutes les personnes qui veulent repartir sur des bases saines.

Il agit comme une loupe : tu verras émerger des schémas, des moments à risque, des automatismes à détricoter.

Prendre conscience, c’est déjà commencer à reprendre le pouvoir sur ton argent.

Identifier les déclencheurs et les croyances associées

Une fois qu’on a pris conscience de ses habitudes de dépense, l’étape suivante, c’est de comprendre ce qui les déclenche.

Car nos comportements financiers ne sont jamais neutres : ils sont déclenchés par des stimuli externes ou des états émotionnels, et renforcés par des croyances profondément ancrées.

Identifier ces mécanismes, c’est se donner les moyens de reprendre la main.

Les déclencheurs : quand le porte-monnaie répond à nos émotions

Nos envies d’achat ne viennent pas de nulle part.

Elles sont souvent une réaction à une émotion ou à un environnement bien précis.

Voici les déclencheurs les plus courants que j’observe chez moi et chez mes lectrices et lecteurs :

Déclencheurs internes :

• L’ennui : on scroll, on clique, on achète un gadget inutile ou un vêtement repéré sur une pub.
• Le stress : une journée compliquée ? L’achat devient une mini-vacance mentale.
• La solitude ou le manque : combler un vide affectif ou émotionnel par un panier validé.
• Le besoin de reconnaissance : acheter pour “être à la hauteur”, “faire comme les autres”, “se sentir à sa place”.

Déclencheurs externes :

• Notifications de soldes ou de nouveautés
• Publicités ciblées (les réseaux sociaux sont redoutables pour ça)
• Comparaison avec les autres : voir les stories d’amis en vacances, un haut sur TikTok ou YouTube, et hop, on craque.

Astuce pratique avant tout achat :

Avant de passer à l’achat, pose-toi 3 questions :

1. Pourquoi maintenant ? Est-ce une urgence ou une envie émotionnelle ?
2. Est-ce un vrai besoin ? Satisfait-il quelque chose d’essentiel ?
3. Qu’est-ce que j’essaie de compenser ? Un vide, une frustration, une peur ?

Souvent, répondre honnêtement à ces trois questions suffit à désamorcer l’achat inutile.

Les croyances limitantes : ces petites phrases qui nous piègent

Nos habitudes de dépense sont également guidées par des croyances souvent inconscientes, mais puissantes.

Ces pensées automatiques justifient les achats… même quand on sait qu’on exagère.

Voici quelques-unes des plus fréquentes :

• « Je le mérite » : après un effort ou une frustration, on s’offre une “récompense”. Mais mériter, est-ce forcément consommer ?
• « Ce n’est qu’une petite dépense » : 8€, puis 15€, puis 5€… L’effet “fuite” est sournois. Additionne sur un mois, tu seras surpris(e).
• « J’ai besoin de me faire plaisir tout de suite » : l’instantanéité devient une drogue. On confond plaisir momentané et bonheur durable.
• « Si je ne l’achète pas maintenant, je rate une opportunité » : FOMO (Fear of Missing Out) quand tu nous tiens !

Astuce puissante : écris tes croyances

Prends un carnet, et note toutes les phrases qui te viennent quand tu as envie d’acheter.

Ensuite, challenge-les :

Ce travail d’écriture est libérateur.

Il permet de passer d’un mode réactif à un mode conscient, aligné avec nos vraies priorités.

En résumé : comprendre ses déclencheurs et ses croyances, c’est comme découvrir le “code secret” de ses dépenses.

Et une fois qu’on le connaît, on peut le réécrire.

Ce n’est pas magique, mais c’est profondément transformateur.

Remplacer les mauvaises habitudes par des rituels positifs

Changer une habitude de dépense ne veut pas dire supprimer toute forme de plaisir ou de spontanéité.

Au contraire : pour que le changement tienne dans le temps, il faut substituer les automatismes nocifs par des rituels agréables, conscients et durables.

Ne pas juste supprimer, mais remplacer

Quand on supprime une mauvaise habitude sans la remplacer, on laisse un vide… et ce vide, tôt ou tard, réclame d’être comblé.

Pour tenir dans la durée, mieux vaut prévoir dès le départ des alternatives positives et plaisantes.

Voici quelques exemples concrets de substitutions efficaces :

• Boire un thé + visualisation
  À chaque fois que tu ressens le besoin de “craquer” pour un achat émotionnel (après une journée difficile, en scrollant sur ton canapé…), prends 5 minutes pour te préparer une boisson chaude et visualise ton objectif financier ou ton projet rêvé.

       Tu verras comme cette pause recentre et apaise.

• Créer une wishlist différée
  Plutôt que d’acheter immédiatement un article qui te fait envie, note-le dans une liste d’attente dédiée (sur un carnet ou dans une appli comme Notion ou Shoptagr).

Laisse-le y dormir pendant 7 à 30 jours.

Très souvent, tu réaliseras que l’envie passe… ou qu’elle évolue.

Et si elle persiste, tu pourras l’acheter avec fierté et certitude.

Ce que j’ai découvert en testant ça : 80 % de mes envies du moment ne passent pas le cap des 7 jours.

Et c’est OK !

Créer des micro-gestes nouveaux

Changer ses habitudes de dépense, c’est souvent une affaire de petits gestes répétés, pas de grandes résolutions intenables.

Voici quelques micro-outils très efficaces:

• La liste d’attente de 7 jours
  Une règle simple : tout achat non urgent attend une semaine.

Pas de frustration, juste un délai qui fait réfléchir.

Résultat : des décisions plus alignées, moins d’achats inutiles.

• Un budget “plaisir” clair et assumé
  Ce n’est pas parce qu’on cherche à dépenser moins qu’on doit se priver de tout.

Crée une catégorie “plaisirs” dans ton budget mensuel, avec un montant fixe.

Ce cadre te permet de te faire plaisir sans culpabilité, tout en gardant le contrôle.

Le plaisir devient choisi, et non subi.

• Un compte séparé pour les coups de cœur:
  Ouvre un compte dédié (par exemple chez Hello Bank ou via une carte virtuelle comme Lydia) pour tes envies ponctuelles.

Tu y verses un petit montant chaque mois.

Le jour où un coup de cœur se présente, tu sauras immédiatement si tu peux te l’offrir.

Et s’il n’y a pas assez ?

Tu attends le mois suivant.

C’est ton argent qui décide, pas ton impulsion.

Ce que j’ai appris:

Quand j’ai commencé à remplacer mes “achats compulsifs du soir” par un rituel bien-être (musique + carnet de gratitude + tisane), j’ai découvert deux choses :

1. Je dépensais moins sans même m’en rendre compte.
2. Je me sentais bien plus apaisée.

Et toi, quels rituels pourrais-tu tester cette semaine ?

Reconnecter ses dépenses à ses valeurs

L’un des tournants majeurs dans la transformation de nos habitudes de dépense, c’est ce moment où on ne dépense plus par automatisme ou impulsion, mais en conscience, en accord avec ce qui nous fait vraiment vibrer.

Lorsqu’on aligne son argent avec ses valeurs, la culpabilité s’efface, et la satisfaction augmente.

Dépenses alignées = dépenses sans culpabilité

On croit souvent qu’il faut “se restreindre” pour mieux gérer son argent.

En réalité, ce n’est pas la quantité de dépenses qui pose problème, mais leur cohérence avec ce qui est important pour nous.

Prenons deux exemples concrets :

• 150 € pour un week-end entre amis qui recharge nos batteries ? → Zéro regret.
• 70 € en fringues achetées en scrollant sans réfléchir après une journée stressante ? → Regrets probables.

C’est cette différence qui change tout.

Pose-toi cette question puissante :
“Qu’est-ce qui compte vraiment pour moi?”
Est-ce la liberté ?

La créativité ?

La sécurité ?

L’apprentissage ?

Les relations humaines ?

Le bien-être physique ?

L’impact écologique ?

Il n’y a pas de mauvaise réponse : ce qui compte, c’est que ce soit la tienne.

Astuce : trier ses dépenses par thème

Pour mieux voir la (dé)connexion entre tes dépenses et tes valeurs, fais une analyse simple :

1. Télécharge tes relevés des 3 derniers mois
2. Regroupe tes dépenses par catégorie “de sens” (et non juste “alimentaire”, “logement”, etc.) :
   1. Confort / sécurité
   1. Apparence / image
   1. Liens sociaux / famille
   1. Liberté / autonomie
   1. Éducation / développement personnel
   1. Instantané / impulsif
   1. Soin de soi
3. Repère les décalages :

Est-ce que tu dépenses beaucoup dans des domaines qui ne sont pas prioritaires pour toi ?

Est-ce que tu investis assez là où tu veux grandir ?

Exemple personnel :

J’ai découvert que je dépensais plus en restauration rapide (par flemme) qu’en formations ou livres, alors que j’adore apprendre.

Ce n’est pas la somme qui m’a choquée, mais le manque de cohérence avec mes valeurs.

Résultat : j’ai ajusté, et aujourd’hui, je me sens bien plus alignée.

Exercice : écrire son “manifeste financier personnel”

C’est un outil que j’adore partager avec mes lectrices et lecteurs : il s’agit d’écrire, en une ou deux phrases, ta propre boussole financière, une sorte de mantra qui guide tes décisions au quotidien.

Exemples de manifestes :

• “Je dépense pour créer de beaux souvenirs, pas pour combler un vide.”
• “J’investis dans ce qui me rend plus libre, pas dans ce qui impressionne les autres.”
• “Je choisis de consommer moins, mais mieux.”
• “Je veux que chaque euro me rapproche de la vie que je choisis.”

Garde cette phrase en tête quand tu es tenté(e) par une dépense impulsive.

Ou colle-la sur ta carte bancaire, dans ton portefeuille, ou en fond d’écran.

Reconnecter ses dépenses à ses valeurs, c’est remettre de l’intention dans chaque euro que l’on dépense.

Et, peu à peu, on transforme non seulement ses finances… mais aussi sa relation à soi-même.

Rendre le changement durable (sans pression)

Changer ses habitudes de dépense, ce n’est pas un changement ponctuel, un effort isolé, ou une action unique.

C’est un chemin, une pratique qui s’ancre peu à peu, comme on apprend à mieux manger ou à faire du sport avec régularité.

Le plus important, c’est de ne pas viser la perfection, mais une progression joyeuse et constante, à ton rythme.

S’ancrer dans une routine bienveillante

Il ne suffit pas de prendre conscience une fois, ou de faire un mois « sans craquage », pour que le changement tienne.

Ce qui fait la différence, c’est la régularité d’un petit rituel simple et doux.

Ma suggestion : une revue mensuelle de 15 minutes, sans jugement.

Voici ce que tu peux faire, chaque fin de mois :

• Note 3 choses positives : une meilleure décision, une dépense évitée, un plaisir assumé.
• Note 1 axe d’amélioration, sans te critiquer. Juste pour t’en rendre compte.
• Regarde si tes dépenses reflètent toujours tes valeurs et tes objectifs.
• Fais le point sur ton budget plaisir : t’es-tu privé(e) à tort, ou bien as-tu cédé à des automatismes ?

Astuce perso :

Je fais ma “mini-revue” le dernier dimanche du mois, avec un thé, en musique, et ça devient un moment pour moi.

Pas une corvée.

Rester motivé(e)

Comme pour toute nouvelle habitude, il est plus facile de rester engagé(e) quand on a des repères concrets et du plaisir dans le processus.

Voici quelques outils efficaces :

Vision board

Crée un tableau de visualisation de tes objectifs : voyage, projet pro, indépendance…

Colle des images inspirantes sur un mur ou une page Notion.

Cela te rappelle pourquoi tu fais tout ça.

Défi « sans achat »

Fais un défi sur une période donnée (ex. : 1 mois sans fringues / sans Amazon / sans resto à emporter) : non pas pour te punir, mais pour observer tes mécanismes.

Tu peux même le faire en binôme ou en groupe !

Objectifs 3 mois

Fixe-toi une micro-habitude tous les 3 mois :

• Mois 1 : suivre toutes tes dépenses
• Mois 2 : supprimer ou remplacer une habitude coûteuse
• Mois 3 : faire 1 achat 100% aligné avec tes valeurs, sans culpabilité

Pour t’aider, utilise des applis comme Tricount, Notion, ou même une simple feuille à cocher.

Partager tes engagements

Le fait de parler de tes objectifs ou de tes progrès avec quelqu’un multiplie par 2 à 3 les chances de réussite.

Pourquoi ?

Parce que cela renforce ta motivation, et t’aide à rester responsable sans pression.

Tu peux :

• En parler à une amie ou ton/ta partenaire
• Créer un petit groupe WhatsApp avec des gens qui veulent faire pareil
• Partager ton “manifeste financier” ou tes réussites sur les réseaux

Exemple perso :

J’ai créé un petit “cercle de budget” avec deux copines.

Chaque mois, on s’échange un vocal pour dire ce qu’on a réussi ou pas.

Zéro jugement, que du soutien.

Et franchement, c’est hyper motivant !

Faire durer une nouvelle relation à l’argent, c’est comme toute transformation durable : ça demande de l’attention, un peu de discipline, mais surtout… de la douceur.

On ne change pas en se tapant dessus, on change en s’encourageant.

Et toi, quand est-ce que tu fixes ton petit rituel mensuel ?

Conclusion – Reprendre les rênes avec bienveillance

Et si tu voulais aller plus loin?

J’ai écrit un livre pour t’accompagner pas à pas dans cette transformation.

Il s’appelle «Je change de vie à plus de 50 ans et prends le chemin de la liberté financière… ».

Dans cet ouvrage, je partage mon parcours, mes stratégies et des conseils pratiques pour bâtir un avenir financier serein, que tu sois en pleine reconversion, proche de la retraite ou simplement en quête d’indépendance financière.

Préparer l’avenir commence aujourd’hui.

Fais le premier pas dès maintenant !

C’est un guide accessible, concret, 100 % tourné vers l’action bienveillante.

Tu y trouveras :

• Des exercices pratiques pour observer tes automatismes,
• Des trucs, des astuces pour te faciliter la vie,
• Des outils pour créer un budget qui te ressemble,
• Des conseils pour aligner tes dépenses à tes vraies priorités,
• Mes réussites, mais aussi mes échecs…
• Et surtout… un ton sans jugement, comme une conversation entre nous.

Ce n’est pas un livre pour devenir “parfait(e)” en finances, c’est un outil pour te sentir enfin libre et acteur(rice)de tes décisions.

Il est disponible sur Amazon.

Si tu veux l’offrir ou te l’offrir, c’est le bon moment.

Tu n’as pas “laissé filer ton argent” par faiblesse.

Tu as agi avec les outils, les émotions et les réflexes que tu avais à ce moment-là.

Aujourd’hui, tu peux choisir de reprendre la main, pas à pas, avec conscience et douceur.

Ton rapport à l’argent peut devenir une force.

Appel à l’action :

Cette semaine, fais un petit exercice puissant : note chaque achat que tu fais, et ajoute en face ce que tu ressentais juste avant.

Étonnamment, ce sont ces micro-prises de conscience qui amorcent les grands changements.

Rendez-vous :

La semaine prochaine, on parlera d’un sujet souvent mal compris, mais essentiel dans une stratégie patrimoniale intelligente : la donation avec réserve d’usufruit.

Oui, ce sera technique, mais promis, je t’expliquerai ça simplement et concrètement 😉

Clin d’œil perso :

Le jour où j’ai compris que je n’étais pas «nulle en gestion», juste prise dans des automatismes… j’ai enfin arrêté de me juger, et j’ai commencé à faire des choix pour moi.

C’est à ce moment-là que tout a changé.

Et toi, tu choisis quoi cette semaine ?

Je te souhaite la réussite dans toutes tes entreprises et te dis à bientôt…

Bree.